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Britney Spears sous tutelle : grosse défaite face à son père Jamie, le calvaire continue !

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Britney Spears sous tutelle : grosse défaite face à son père Jamie, le calvaire continue !

Ses révélations furent fracassantes… mais pas assez, visiblement, pour faire flancher la cour suprême de Los Angeles.

Alors que Britney Spears tente de se débarrasser de la tutelle légale de son père depuis des mois, la chanteuse vient d’essuyer un refus catégorique de la part de la juge californienne Brenda Penny. Comme le rapportent les médias américains, comme TMZ ou NBC, la demande émise par téléphone lors de l’audience du 23 juin 2021 a été rejetée. “Je tiens à vous dire que je suis très sensible à tout ce que vous venez de me dire, à ce que vous ressentez et je sais que vous avez eu besoin de beaucoup de courage pour vous exprimer aujourd’hui“, déclarait pourtant la femme de loi le jour-même.

Sam Ingham, l’avocat de Britney Spears, avait déjà demandé à écarter Jamie de la vie de sa fille en novembre dernier. Il avait demandé à ce que le père de l’artiste soit remplacé par Bessemer Trust en vain. Il avait déjà expliqué, par le passé, que la jeune femme avait peur de Jamie. Ce qu’elle a elle-même confirmé lors de la fameuse audience du 23 juin 2021. “J’ai eu mon père au téléphone, racontait-elle. J’ai pleuré pendant une heure et il en a apprécié chaque minute. Le contrôle qu’il a sur une personne comme moi… il aime avoir ce contrôle quitte à blesser sa fille, à 100 000%. Il adore ça.

Jamie Spears assure qu’il n’abuse pas du pouvoir qu’il a sur Britney. Il profite toutefois de son compte en banque pour payer ses propres frais d’avocat… contre elle. Même Jamie Lynn, la soeur de la chanteuse, semble avoir pris ses distances avec papa.

Pour rappel, Britney Spears a été placée sous tutelle en 2008 à la suite de troubles psychologiques – alors que ce traitement est habituellement réservé à des personnes vulnérables, souvent âgées. Peu autonome, elle expliquait entre autres à la juge Brenda Penny qu’elle n’était pas autorisée à prendre soin d’elle, à se rendre chez le coiffeur ou la manucure, et qu’il lui était interdit de se marier ou d’avoir des enfants. Elle n’a pas la possibilité, quoiqu’il arrive, de se rendre chez le médecin pour se faire enlever son stérilet.