Home Pure Télé Cambriolage mortel chez le gagnant d’une célèbre émission : meurtre, divorce et “coup monté” !

Cambriolage mortel chez le gagnant d’une célèbre émission : meurtre, divorce et “coup monté” !

0
Cambriolage mortel chez le gagnant d’une célèbre émission : meurtre, divorce et “coup monté” !

L’histoire fait froid dans le dos. En 2013, Daniel Malgouyres ressort grand gagnant de l’émission de France 2, Le Jardin préféré des Français. Et récemment, il refait parler de lui pour une bien triste affaire. En effet, il est accusé d’avoir organisé son propre cambriolage en 2017, événement au cours duquel il a tué l’un des malfrats. Le procès s’est ouvert lundi 29 novembre 2021, comme l’indiquent nos confrères du Parisien qui décrivent les faits comme “une rocambolesque affaire de cambriolage mortel sur fond de gros sous et de coups tordus entre époux“.

Le 5 octobre 2017, Daniel Malgouyres (72 ans) et son ex-épouse sont victimes de home-jacking dans leur domicile de Servian, dans l’Hérault. Deux hommes se sont introduits sur place dans le but de dépouiller la femme de l’accusé de ses économies. L’un des deux cambrioleurs a été abattu par Daniel Malgouyres. C’est ainsi qu’il est jugé pour “meurtre”, “tentative de meurtre” mais aussi “complicité de tentative d’extorsion en bande organisée”.

En effet, c’est le deuxième malfaiteur, qui est parvenu à s’enfuir après le coup de feu, qui a donné les premiers éléments permettant de relier Daniel Malgouyres au duo. En réalité, le gagnant du Jardin préféré des Français, “avide de récupérer les économies de sa femme dans le cadre d’une séparation houleuse“, aurait tout manigancé. Un autre témoignage confirme la piste. Richard Llop, éleveur de cheveux de la région et confident du couple Malgouyres, indique qu’il aurait été en charge de recruter l’équipe et confie qu’il est bel et bien question d’un “coup monté” avec but financier juste avant le divorce.

En 2017 déjà, Daniel Malgouyres avait été mis en examen pour homicide volontaire. “Les deux agresseurs déterminés et ultra-violents voulaient qu’on leur désigne l’emplacement d’un coffre-fort qui n’existe pas. Si Monsieur Malgouyres n’avait pas tiré pour les défendre, on peut légitimement se demander ce qui se serait passé par la suite vu le niveau de détermination des braqueurs et l’absence de ce coffre“, avait alors déclaré son avocat à l’époque. Quatre ans plus tard, voilà que l’affaire connaît un nouveau rebondissement. Reste à voir le verdict au tribunal.