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Carla Bruni de retour aux Enfoirés, Vanessa Paradis à l’ouverture des César, les larmes de Brigitte Lahaie

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Après 11 ans d’absence, Carla Bruni est de retour aux Enfoirés. Comme chaque année de nombreux artistes ont accepté de mettre leur notoriété et leur talent au profit des Restos du coeur en participant au concert des Enfoirés du 16 au 21 janvier. Parmi les artistes qui ont accepté de participer à cette édition 2018, on peut citer Carla Bruni, onze ans après sa dernière participation. La maman de Giulia et d’Aurélien sera donc sur scène avec les autres artistes dont font partie Julien Clerc, Patrick Bruel, Kendji Girac, Grégoire, ou encore Zaz afin de lever des fonds pour aider les personnes dans le besoin. Cette édition baptisée Musique et qui évidemment rendra cette année hommage à Johnny Hallyday et France Gall, deux artistes, qui l’un comme l’autre ont plusieurs fois participé au concert des Enfoirés.

Vanessa Paradis à l’ouverture des César. Vingt-trois ans après son duo avec Jeanne Moreau à Cannes, la chanteuse ouvrira le 2 mars prochain la 43ème cérémonie des César, qui sera dédiée à l’actrice disparue le 31 juillet 2017 et organisée à la salle Pleyel à Paris. “Avec sensibilité, élégance et bienveillance, la talentueuse Vanessa Paradis ouvrira la 43e Cérémonie des César 2018 le 2 mars prochain”, a fait savoir l’Académie du cinéma français sur son compte Twitter. Une cérémonie que l’actrice et chanteuse connaît bien puisqu’elle avait décroché à seulement 17 ans le César du meilleur espoir féminin pour son rôle dans le film Noce blanche de Jean-Claude Brisseau, en 1990.

Brigitte Lahaie fait son mea culpa. Après ses propos polémiques sur le viol, l’ancienne animatrice radio a regretté d’avoir été “mal comprise”. Au cours d’un entretien accordé à TV5 Monde, qui sera diffusé vendredi 12 janvier à 18h50, elle a fondu en larmes, assurant qu’elle ne voulait blesser personne. “Je regrette que cela ait été sorti de son contexte. C’est malheureusement une vérité. J’aurais peut-être dû ajouter ce malheureusement, ce qui rend souvent la reconstruction encore plus compliquée d’ailleurs”, explique-t-elle, avant de rappeler qu’elle connaît “par coeur les questions de sexualité”. “Ce que je voulais dire, c’est que parfois, le corps et l’esprit ne coïncident pas. (…) Mais je comprends aussi que cette tribune puisse choquer et blesser. Je dis simplement que si on veut vraiment avancer sur la violence faite aux femmes, il faut peut-être comprendre comment en amont on peut faire que les choses changent” se justifie celle qui avait signé une tribune publiée dans Le Monde défendant “la liberté d’importuner” que détiendraient les hommes. Sur BFMTV, elle avait choqué en estimant qu’il était tout à fait possible de jouir lors d’un violface à la militante féministe Caroline De Haas.