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Dani a dilapidé tout son argent : “Ça me prenait la tête”

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Dani a dilapidé tout son argent : “Ça me prenait la tête”

Voitures de luxes, boîtes de nuit… Dani n’est plus vraiment l’égérie rock qu’elle était. Retranchée à Tours, loin du showbiz, Dani se retrouve complètement fauchée à 76 ans. Même si elle a dilapidé ses économies, et s’est débarrassée de son patrimoine, elle dit se sentir plus libre. Un mode de vie qui semble lui convenir parfaitement, comme elle l’a confié dans les colonnes du Journal du Dimanche, le 15 octobre 2020.

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Je n’ai plus d’argent. C’est plus confort ! Quand j’en avais, ça me prenait la tête. Les maisons, les papiers… À la mort de mon mari, j’ai décidé de ne pas m’encombrer plutôt que de mettre du noir sur les souvenirs qu’on avait partagés. C’est ainsi, on avance, on fait ami avec le chagrin. Maintenant, ma vie, c’est mon sac. Je vais où je veux“, révèle-t-elle. Dani a notamment vendu sa maison dans le Luberon et son appartement parisien. La sortie prochaine de son nouvel album, Horizons Dorés, devrait pouvoir mettre un peu de beurre dans les épinards.

Ne roulant pas en Porsche ou en Ferrari, cette grand-mère de quatre petits-enfants vit dans un appartement en centre-ville qu’elle loue. “Deux jours avant le confinement, j’ai visité un appartement. Le lendemain, j’y emménageais. Et mon fils m’a ordonné : “À partir de maintenant, tu ne sors plus !”‘, raconte Dani. Son seul regret est d’ailleurs de pas toujours avoir été là pour ses enfants. “Malgré une éducation pleine d’amour, ils ont dû se construire par eux-mêmes, reconnaît-elle. Ce qu’ils sont devenus, c’est à eux seuls qu’ils le doivent.

Dans cet entretien au Journal du Dimanche, Danièle Graule, de son vrai nom, évoque également son addiction à l’héroïne. “Quand je fais le bilan, il me semble que ma vie a été chaotique. Mais je n’ai aucun regret, même pour la drogue. J’y suis allée à mes risques et périls. Je voulais être avec l’homme que j’aimais et partager ses passions. Si ça avait été le ski, je me serais lancée dans le ski. L’addition a été salée et je l’ai payée de ma poche, physiquement et psychologiquement. Mais mon regret n’est pas là“, se rappelle l’interprète de Comme un boomerang.

Retrouvez l’entretien de Dani en intégralité dans le dernier numéro du Journal du Dimanche.