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David Baïot (Plus belle la vie) victime de racisme : il partage des messages d’une grande violence

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David Baïot (Plus belle la vie) victime de racisme : il partage des messages d’une grande violence

En s’exposant sur les réseaux sociaux, les personnalités publiques sont malheureusement souvent confrontés aux attaques parfois très virulentes des internautes. David Baïot a fait les frais de la haine de certains d’entre eux mardi 1er juin 2021. Après s’être montré actif sur Instagram en exprimant son dégoût face aux récentes agressions racistes rapportées par les médias, l’ex-interprète de Djawad dans Plus belle la vie a été la cible de deux personnes anonymes. Ces dernières lui ont glissé des messages à caractère raciste d’une grande violence.

David Baïot n’a pas hésité à les repartager via sa story Instagram. “Sale singe, retourne dans ta forêt…“, lui a-t-on d’abord adressé. Ce à quoi l’acteur a répondu : “Encore un qui a les couilles aussi grosses que des noisettes qui se cache derrière son clavier…

La suite ne vole pas beaucoup plus haut puisqu’un autre hater a tenté de le déstabiliser en commentant sous sa dernière publication avec son filleul : “Vive Hitler, la prochaine Shoah sera pour vous“. Là encore, David Baïot a répliqué, avec ironie. “On a le grand gagnant du jour !! C’est qu’il est en forme le petit ! Va changer tes couches et reviens me parler en face“. Comme l’ont relevé nos confrère de Télé 7 jours, David Baïot a décidé de ne plus se taire face à ce genre d’attaques racistes. “Je suis choqué. Depuis quelques semaines, je fais face à des propos racistes et je ne peux plus laisser passer. (…) Nos parents ont pris sur eux, mais nos générations n’ont plus à le faire. Je ne tolérerai plus aucune forme de racisme, de misogynie, d’homophobie et autre. (…) Beaucoup comme moi en subissent au quotidien, sans rien dire, justifiant ces propos par de la bêtise, mais arrêtons de nous voiler la face“, a-t-il déclaré.

Si les auteurs viennent à être retrouvés, il risquent très gros. En effet, selon la loi, ces délits virtuels peuvent faire encourir une amende de 12 000 euros pour diffamation publique et d’un an de prison et de 45 000 € d’amende si les caractères racistes, antisémites ou sexistes sont retenus.