Home Pure Télé Fermeture des boîtes de nuit : Un aventurier de “Koh-Lanta” en colère, apparition surprise à la télé

Fermeture des boîtes de nuit : Un aventurier de “Koh-Lanta” en colère, apparition surprise à la télé

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Fermeture des boîtes de nuit : Un aventurier de “Koh-Lanta” en colère, apparition surprise à la télé

Le 6 décembre 2021, le Premier ministre, Jean Castex, a annoncé de nouvelles mesures restrictives pour contrer la recrudescence de la Covid-19 en France. Parmi les mesures annoncées, la fermeture des discothèques pour une durée de 4 semaines et à compter du vendredi 10 décembre. En revanche, les bars et les restaurants restent ouverts avec simplement pour consigne de renforcer le contrôle des pass sanitaires. La police devrait également contrôler plus largement.

Cette annonce a été alors forcément beaucoup critiquée par les gérants de boîtes de nuit, pour qui cela a eu l’effet d’un nouveau coup de massue. L’injustice et l’incompréhension sont souvent les maîtres-mots de leurs témoignages depuis l’allocution de Jean Castex. Un sentiment que partage Cédric Lucas, lui-même patron d’un club à Paris. Il a d’ailleurs été invité à partager sa colère sur le plateau de Touche pas à mon poste ce mardi 7 décembre. L’occasion de découvrir qu’il s’agissait d’un ancien candidat de participé à deux reprises au programme de survie. Une première fois en 2015 en Malaisie puis à nouveau dans l’édition All Stars en 2018 aux Fidji.

Mais auprès de Cyril Hanouna et son équipe, Cédric n’est pas du tout revenu sur ses parcours sur des îles désertes ni même sur les affaires de tricherie qui secouent le programme ces dernières semaines. Il était invité pour uniquement parler du gros frein que lui impose le gouvernement dans sa carrière de gérant de boîte de nuit. “Pourquoi stigmatiser la boîte de nuit alors que vous avez, les bars, les restaurants, qui eux, ne contrôlent pas le pass sanitaire avec la pièce d’identité, donc il y a encore plus de risques de créer de clusters. Il y a déjà des soirées clandestines qui se mettent en place, vous avez aussi des gens qui font des soirées chez eux. Donc en gros, on ferme les boîtes de nuit pour renvoyer les gens chez eux et qu’ils fassent des fêtes clandestines. C’est pas logique ! Il n’y a aucune logique en fait“, a-t-il déploré.