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Helmut Fritz : Le chanteur de Ça m’énerve a bien changé !

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Helmut Fritz : Le chanteur de Ça m’énerve a bien changé !

Au cours du week-end du 12 et 13 septembre, Helmut Fritz était invité de l’émission Good Morning Week-end sur Non Stop People et il a multiplié les confidences : argent, traversée du désert et métamorphose physique. Aujourd’hui âgé de 45 ans, l’artiste affiche un nouveau style.

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En 2009, lorsque sortait le titre festif Ça m’énerve, Éric Greff alias Helmut Fritz affichait des cheveux en pétard, un visage rasé, des joues rondes et un look vestimentaire typique des années 2000… Il n’est clairement plus le même homme aujourd’hui ! Aminci, barbu, avec un look à mi-chemin entre le casual et le hipster, il est métamorphosé. “J’ai fait du sport, j’ai commencé à faire plus attention à moi. J’ai ‘glow up’, comme disent les jeunes. J’ai perdu 5 ou 6 kilos“, a-t-il confié à l’antenne.

Helmut Fritz a aussi évoqué son changement de look, bien loin de celui de son personnage de l’époque inspiré par le défunt couturier Karl Lagerfeld. “Quand je revois la tenue du personnage, la couleur de cheveux, la nuque longue, etc., je crois qu’il y avait des choses dont je n’avais pas conscience, en fait. Y avait un côté dandy effrayant. (…) Entre-temps, j’ai fait plein de choses et aujourd’hui, le retour d’Helmut, c’est un retour avec une évolution plus, plus quoi !“, a-t-il ajouté. L’artiste a également confié qu’il avait abandonné l’accent de son loufoque personnage “petit à petit“.

Helmut Fritz espère bien continuer de divertir les Français. Au moment du confinement, il avait publié une version remaniée de son tube, dédiée notamment au personnel soignant. “Je vous souhaite de rire, de danser et d’échapper à cette saloperie de virus ! Soutien au personnel hospitalier, mais aussi à celles et ceux qui bossent chaque jour dans plein d’autres domaines et se lèvent la peur au ventre. Enfin gros hommage à ce ciel bleu sans trace d’avion, à la liberté pour l’instant fantasmée et à nos rues (espérons-le) bientôt retrouvées. Love sur vous les confinés(ées)“, disait-il alors.