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Héritage de Johnny Hallyday : pour André Boudou, c’est Sylvie Vartan qui “tire les ficelles”

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Héritage de Johnny Hallyday : pour André Boudou, c’est Sylvie Vartan qui “tire les ficelles”

Dans une interview accordée à Midi Libre, André Boudou, le père de Laeticia, assure que Sylvie Vartan a joué un rôle prépondérant dans la guerre des clans.

Pour le père de Laeticia Hallyday, Sylvie Vartan y est pour beaucoup dans la guerre des clans. Cette bataille a débuté lorsque Laura Smet et David Hallyday ont découvert le testament de leur père désignant la veuve de Johnny Hallyday comme unique héritière. Interviewé par Midi Libre en kiosques le dimanche 28 octobre, André Boudou pointe du doigt la maman de David Hallyday. Il révèle notamment qu’après les obsèques du Taulier, un artiste l’a ainsi alerté : “Sylvie Vartan est en train de réunir tout le monde à Los Angeles, méfiez-vous ils préparent quelque chose.” Selon le grand-père de Jade et Joy, c’est “Sylvie Vartan qui tire les ficelles”. “Ils ont voulu jouer le show-biz parisien contre les ploucs. Moi je suis pilote d’avion, commandant de mon bateau, j’ai gagné des rallyes, créé des grandes affaires aux États-Unis, les gens les plus importants du monde sont mes amis et pour les gens comme Besnehard (Dominique, producteur, Ndlr), je suis un plouc !”, lance-t-il.

André Boudou précise que “Johnny savait ce qu’il faisait avec l’héritage”. “Il aurait pu être plus courageux en faisant une vidéo pour expliquer ses choix à ses enfants, mais il les a faits en conscience. Il a été courageux dans son combat contre la maladie. Il est resté debout jusqu’au bout”, poursuit-il. Le père de Laeticia précise cependant qu’il n’était “pas au courant des dispositions de l’héritage”. “J’avais pris du recul depuis quatre ans. Mais on s’aimait avec Johnny. On est passé tout l’hiver pour des voyous, alors que je n’ai fait que du bien à Johnny. J’ai redressé ses affaires. Les robinets étaient tellement ouverts qu’il était facile de les fermer un peu, j’ai même essayé de les fermer complètement. Johnny s’est refait une santé financière grâce à moi, je l’ai aidé amicalement. Après il y a deux ou trois trucs sur lesquels on n’était pas d’accord, je lui ai dit on arrête, ce n’est pas possible”, confie-t-il.