Home Pure Cinema “J’ai bondi au plafond” : Mylène Demongeot fait une grande annonce sur son cancer

“J’ai bondi au plafond” : Mylène Demongeot fait une grande annonce sur son cancer

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“J’ai bondi au plafond” : Mylène Demongeot fait une grande annonce sur son cancer

L’année commence plutôt bien pour cancer du péritoine, a révélé être sortie de ce cauchemar : “J’ai rechuté après mon séjour au Sénégal, au point d’ailleurs de repartir en chimio. Et il y a quelques jours, lors de mon scanner de contrôle, mon médecin m’a dit :Vous êtes guérie !J’ai bondi au plafond. Je ne pouvais pas espérer une plus belle nouvelle pour commencer l’année, a-t-elle déclaré dans les colonnes de France Dimanche. Si vous saviez comme je suis heureuse ! Bien sûr, il faut faire des contrôles tous les six mois car c’est toujours à surveiller ces trucs-là. Mais quel soulagement !

Mylène Demongeot espérait évidemment cette nouvelle sans trop y croire : “Dans ces foutues maladies, on n’est jamais sûrs de rien. Moi, j’avais le sentiment de ne plus être malade, néanmoins je préférais avoir le diagnostic du médecin parce qu’en même temps, c’est rare que je me sente mal. Du coup, je ne me fais pas confiance, le scanner est tout de même plus fiable. Tous les feux sont au vert !

Malgré l’enchaînement de pépins de santé, Mylène Demongeot a toujours voulu y croire. En 2019, son cancer du péritoine lui est diagnostiqué pour la toute première fois. Avec toute son énergie et sa rage de vaincre, la star de Camping a déjoué les pronostics du médecin, pessimiste sur son cas, et s’en était sortie. L’année suivante, le sort s’était acharné. Atteinte de la Covid-19, Mylène Demongeot était admise à l’hôpital où elle est restée trois semaines après avoir été guérie par le traitement conseillé par le professeur Didier Raoult.

Dans la même interview pour France Dimanche, elle annonçait également la rechute de son cancer : “Je suis actuellement à Paris pour soigner une récidive de mon cancer du péritoine, avait-elle indiqué. Le médecin m’a dit que ça reste dormant dans l’organisme et que ça peut revenir, de temps à autre. Et là, c’est reparti. J’ai du coup regagné mon pied-à-terre parisien pour de nouvelles séances de chimio“. L’enchaînement des coups durs n’avait pas entamé son optimisme : “Je suis contente d’en faire, car je sens que ça me fait vraiment du bien. On peut se dire que c’est un poison qui vous tue, eh bien moi, il me fait du bien pour le moment, ce poison“. Comme quoi, avoir un mental d’acier permet bien des guérisons.