Certaines personnes se font avoir par des arnaques bien ficelées, le chroniqueur de 51 ans a révélé avoir été victime d’une supercherie financière. A l’époque, il souhaitait relancer la carrière d’une chanteuse israélienne. Il est ainsi entré en contact avec le manager de cette dernière : “Je l’ai financée, je l’ai emmenée à Los Angeles. Je lui ai payé son hôtel, ses billets d’avion, les bagnoles. Au bout d’un moment, je dis ‘mais quand est-ce que les contrats arrivent, quand est-ce que l’oseille va arriver ?’ Il me disait ‘ça arrive’. Moi, j’avançais l’argent.” Ce que Benjamin Castaldi ne pense pas, c’est qu’il est en réalité manipulé par l’homme en question : “Un jour, il avait laissé la porte de sa chambre ouverte, j’arrive tout doucement et je l’entends dire au téléphone : ‘C’est bon, Castaldi je l’ai complètement rincé, l’opération est bientôt terminée, je vais pouvoir rentrer‘. Il m’avait inventé tout un mytho. Je suis tombé dedans volontiers mais c’était bien ficelé“. Au total, ce sont 150 000 euros (1 million de francs à l’époque), obtenus en héritage, que Benjamin Castaldi s’est fait voler.

Si le chroniqueur a dévoilé les détails de cette mauvaise rencontre, c’est parce que l’équipe de Cyril Hanouna évoquait le documentaire choc, L’arnaqueur de Tinder, diffusé sur Netflix. Un homme s’est fait passer pour le fils d’un richissime homme d’affaires auprès de jeunes femmes à qui il demandait finalement d’importantes sommes d’argent pour le sortir d’une situation délicate complètement inventée.

Certains membres de l’équipe de Touche pas à mon poste ont été touchés par les témoignages des victimes. D’autres, à l’image de Guillaume Genton, un peu moins. L’éternel amoureux de Delphine Wespiser expliquait ne pas avoir de peine pour celles qui assument clairement dans le film le fait d’avoir voulu rencontrer des hommes pour leur argent. Il soulignait notamment leur naïveté sur la situation. Une déclaration que Benjamin Castaldi a voulu contredire en racontant sa propre expérience…