Home Pure Télé Jamel Debbouze se confie sur Mélissa Theuriau, “mère hors pair”, et ses enfants

Jamel Debbouze se confie sur Mélissa Theuriau, “mère hors pair”, et ses enfants

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Jamel Debbouze se confie sur Mélissa Theuriau, “mère hors pair”, et ses enfants

Invité de C à vous, Jamel Debbouze était d’humeur bavarde. Interrogé par Anne-Elisabeth Lemoine, l’humoriste de 44 ans s’est livré en détail sur sa vie de famille. À commencer par sa manière d’éduquer ses enfants, Léon (10 ans) et Lila (7 ans). “Il y a plein de possibilités de faire de la politique, la chose qui reste vraiment, la plus concrète c’est de donner les bonnes valeurs à nos enfants. C’est eux qui feront le monde de demain. Si on veut influer, inculquer, diriger d’une certaine manière, c’est par là que ça passe“, explique-t-il dans le talk show de France 5.

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L’occasion pour le père de famille d’évoquer son union avec Mélissa Theuriau, avec qui il est marié depuis onze ans. “J’ai la chance incroyable d’être très bien accompagné, Mélissa, c’est une mère hors pair. Avec elle, on essaye de donner des valeurs à nos enfants qui vont leur permettre plus tard d’aborder le monde. C’est de plus en plus compliqué“, poursuit Jamel Debbouze.

Je me suis rendu compte que j’avais peur pour eux, tout bonnement. C’est un sentiment que je ne connaissais pas, la peur. C’est vrai, ça vient d’arriver il y a quinze jours. Jusque-là je mettais pas ma ceinture, j’avais pas peur, je roulais à fond la caisse. J’ai toujours eu le sens des irresponsabilités“, reconnaît le comique, qui a annoncé il y a quelques mois vouloir faire une pause dans sa carrière.

Jamel Debbouze a gagné l’admiration de ses enfants depuis qu’il a prêté sa voix à l’inimitable Timon, facétieux suricate du Roi Lion. “Ils me respectent. Je suis quand même Timo, je suis capable de chanter Hakuna Matata”, blague-t-il. Par amour pour ses enfants, Jamel se prête à leurs jeux. Longtemps, il a fait semblant d’être glacé par un sort lancé par sa fille Lila, fan de la Reine des neiges : “Elle me l’a fait pendant des mois et des mois. Il fallait que je gèle. Parfois elle partait, elle dégelait pas, ouais. Elle le faisait partout et moi je peux pas lui dire non. Je gelais à la boulangerie, je gelais à La Poste… C’était assez ridicule, mais c’est ça quand t’as une fille. On se laisse faire.” Une belle complicité.