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Jean-Luc Lahaye refuse le confinement : “Moi, je vis ma vie normalement”

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Jean-Luc Lahaye refuse le confinement : “Moi, je vis ma vie normalement”

On connaissait déjà le petit côté rebelle et impétueux de Jean-Luc Lahaye ; pendant le confinement, l’artiste de 67 ans se surpasse ! Le 27 avril 2020, lors d’un live Facebook de Welcome (le magazine de Mario Barravecchia), l’interprète du titre Femme que j’aime a confié qu’il ne respectait pas du tout le confinement imposé par l’Etat. Sûr de lui, il déclare en effet : “J’habite Paris, oui. J’ai horreur de ce mot, “confiné”. C’est vraiment un truc pour les boîtes de conserve… Moi, je vis ma vie normalement. Le confinement, je considère que c’est une immense supercherie. Ça ne regarde que moi, ça n’engage que moi.” Précisément, c’est là que le bât blesse : cela n’engage pas que lui… Et pourtant, le chanteur enfonce le clou.

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L’artiste, vedette de la tournée Stars 80, développe ainsi son point de vue, sans ambages : “Je vis ma vie, je sors en bécane… Je mets un masque, parce que je joue le jeu du masque. Mais point barre. Sinon ça ne m’empêche pas de sortir, de voir mes potes et de voir mes enfants.” Pour se défendre, Jean-Luc explique que cet enfermement imposé lui donne l’impression de mourir à petit feu. “Avec ce confinement, j’ai l’impression de perdre un temps précieux. Je n’ai plus 20 ans. J’ai l’impression qu’on enlève des mois à ma vie,“, déclare-t-il, agacé. Et agaçant, sans doute, pour nombre de ses compatriotes moins individualistes.

Alors que la plupart des Français restent chez eux et prennent leur mal en patience, Jean-Luc martèle qu’il ne supporte pas cette privation de liberté. Remonté, il sous-entend également que le gouvernement se moque du peuple avec cette mesure : “Moi qui suis quelqu’un épris de liberté, je considère que ce mot engage un contrôle permanent de nos déplacements. C’est un mot générique qui me déplaît. Etre confiné, en deux mots, c’est encore pire : con fini, même ! On a l’air de cons finis ! Ce mot, je l’exècre.

Pour rappel, l’amende pour un déplacement sans attestation ou sans motif important est fixée à 135 euros. Si une récidive est constatée dans les 15 jours, l’amende s’élève à 200 euros. Si quatre infractions pour non-respect du confinement sont relevées en l’espace de 30 jours, la sanction peut aller jusqu’à 3750 euros d’amende et six mois d’emprisonnement. A bon entendeur…