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Jessica Thivenin, maman “autoritaire” : “Maylone ne sera pas pourri gâté”

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Jessica Thivenin, maman “autoritaire” : “Maylone ne sera pas pourri gâté”

En octobre 2019, Jessica Thivenin et Thibault Garcia accueillaient leur premier enfant, un adorable petit garçon prénommé Maylone. Mais les premiers mois du bébé n’ont pas été faciles… Très peu de temps après sa naissance, Maylone avait été opéré pour une atrésie de l’oesophage. Aujourd’hui, alors qu’il est âgé de 10 mois, le petit garçon va mieux. Lors d’une interview accordée au magazine Public, Jessica Thivenin évoque ces moments difficiles et parle de l’avenir.

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On ne va pas se mentir, on a eu une année difficile, Thibault et moi, lance la belle blonde. Cela a débuté lorsque j’ai dû rester alitée alors que j’attendais Maylone. C’était le 12 juin 2019. Et, ensuite, les galères se sont enchaînées. Les premiers jours de mon fils ont été compliqués, il a dû subir plusieurs opérations chirurgicales et nous étions très inquiets.” Maintenant que tout semble aller au mieux, le couple s’est octroyé une pause sans bébé pour le tournage des Marseillais VS Le Reste du monde (W9) en juillet 2020, dans le Sud de la France. Une séparation “dure“, “surtout les premiers temps“.

Je ne veux pas que Maylone soit un petit prince pourri gâté

Et de poursuivre : “Nous sortons d’une période horrible, terrifiante. Mais ces épreuves n’ont fait que nous renforcer. Si nous avons réussi à surmonter cela, nous surmonterons tout, c’est certain. Maylone et ses problèmes de santé nous ont obligés à relativiser les aléas de la vie. Aujourd’hui, plus rien ne nous paraît vraiment important, hormis la santé de notre enfant. On ne va plus autant se prendre la tête pour des bêtises, on a pris du recul. Tout va bien, du moment que nous sommes en bonne santé.

Très inquiets pour leur fils, Jessica Thivenin et Thibault Garcia n’ont pas hésité à le couver. Un peu trop, peut-être, selon la jeune maman qui souhaite se montrer “autoritaire” dans son éducation. “Je ne veux pas que mon fils devienne un petit prince pourri gâté, lance-t-elle. Oui, il a été malade et on le couvre d’amour et de bisous tout le temps, mais ce n’est pas une raison pour ne pas lui apprendre la discipline. Je ne le laisse pas faire des bêtises, je n’hésite pas à le gronder ni nécessaire (…). Je ne supporterai pas qu’il fasse des caprices et qu’il soit mal élevé.

Une interview à retrouver en intégralité dans le magazine Public, dans les kiosques ce vendredi 28 août 2020.