La carrière de Josiane Balasko au cinéma brille depuis plus de quarante ans. De ses débuts au Splendid, troupe dans laquelle elle co-écrivait les textes, à son dernier rôle au cinéma dans le film choc Grâce à Dieu, en passant par son César pour le scénario de son long métrage Gazon Maudit, la célèbre Bronzée navigue sans mal dans les genres. Elle est également auteure et vient de publier un recueil de nouvelles, Jamaiplu (éditions Pygmalion). En interview pour le magazine Voici, la star de 68 ans revient néanmoins sur une chose qu’elle a eu du mal à accepter…
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Quand on lui dit qu’elle est en France une personnalité “culte” et qu’on l’appelle tout simplement Balasko, l’artiste est loin de s’offusquer de la familiarité que cela pourrait représenter : “Ça m’arrange parce que j’ai toujours détesté mon prénom. Un jour, avec mes parents dans les grands magasins, juste avant Noël, je me suis perdue dans la foule. Ma mère a finalement entendu une annonce au micro : ‘La petite Michelle est attendue par ses parents.’ Elle a compris que c’était moi.”
Avec sa franchise habituelle, Josiane Balasko se confie également sur le fait d’être devenue grand-mère, puisque sa fille, Marilou Berry, a donné naissance il y a quatre mois à son premier enfant, Andy, né de sa relation avec le street-artiste Alexis (31 ans), dit “Le Diamantaire” : “Il n’est pas en âge de parler mais je n’ai aucun problème avec le fait de me faire appeler mamie. Mais ça a déclenché une question existentielle que je n’avais jamais eue en tant que maman : combien de temps me reste-t-il pour le voir grandir ?“
Retrouvez l’intégralité de l’interview dans le magazine Voici du 8 mars 2019