Home Pure Musique Justin Bieber se lance dans un business à la mode qui peut rapporter gros…

Justin Bieber se lance dans un business à la mode qui peut rapporter gros…

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Justin Bieber se lance dans un business à la mode qui peut rapporter gros…

Chanteur et businessman, multiplié les partenariats (avec Proactiv, Adidas, Calvin Klein…) ces dernières années, s’associe cette fois avec la compagnie Palms. Ensemble, ils vont vendre du cannabis.

Comme le relate le site Bloomberg, Justin Bieber a donc signé un deal avec Palms, une société basée en Californie, pour distribuer des produits à base de cannabis. Le chanteur et époux de Hailey Baldwin va notamment proposer un paquet de sept joins pré-roulés dans une gamme intitulée Peaches – du nom de son dernier single – vendu 32 dollars. Les produits seront disponibles à l’achat en Californie et dans l’état voisin du Nevada. Le cannabis médical et récréatif a été autorisé dans ces deux états actuellement gouvernés par des membres du Parti Démocrate.

Je suis un grand fan de Palms et de la manière dont ils rendent le cannabis acceptable ainsi que leur aide à la dédiabolisation notamment envers ceux qui trouvent cela utile pour lutter contre des problèmes mentaux [une consommation à court terme peut parfois aider contre la dépression, l’anxiété et le stress alors que l’usage à long terme serait plus néfaste, affirment des scientifiques de l’université de l’État de Washington, NDLR]”, a fait savoir Justin Bieber, lequel a révélé par le passé avoir lutté contre la dépression. L’interprète des tubes Baby, Sorry ou encore Love Yourself avait dévoilé dans un documentaire diffusé sur YouTube avoir essayé la marijuana quand il avait entre 12 et 13 ans. Un très (très) jeune âge…

Selon le rapport HQ Cannabis Brand Affinity, publié l’an dernier, la génération Z et les millennials représentent pas moins de 40% du marché du cannabis… Justin Bieber, dont la fortune est estimée à 285 millions de dollars, pourrait donc bien gagner beaucoup d’argent avec ce nouveau business si le succès est au rendez-vous. En revanche, profit et drogues sont-ils bien acceptés par sa conservatrice et décriée église ? Affaire à suivre…