Home Pure Télé “La souffrance a ses limites…” : Une aventurière phare de Koh-Lanta en larmes à l’hôpital

“La souffrance a ses limites…” : Une aventurière phare de Koh-Lanta en larmes à l’hôpital

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“La souffrance a ses limites…” : Une aventurière phare de Koh-Lanta en larmes à l’hôpital

Pas de chance pour Sara, aventurière phare déjà vue dans grande habituée des hôpitaux. Et mardi 28 septembre 2021, elle s’y est de nouveau rendu pour une énième opération. Sur les réseaux sociaux, elle partage ce moment douloureux et craque…

C’est reparti pour la dix-septième. Le bloc opératoire, c’est devenu une routine. Aller, en espérant que ce soit la dernière“, lance Sara sur son lit d’hôpital prête pour l’anesthésie alors que son genou droit est enroulé de bandages. Rappelons que la charmante blonde souffre depuis bien trop longtemps d’algodystrophie, pathologie aussi connue sous le nom de Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC) qui se caractérise par une douleur continue d’une région du corps. Pour elle, c’est le genou…

Après son opération, Sara donne de ses nouvelles à ses followers. Elle s’affiche alors toujours allongée, un collier à pendentif Totem en référence aux aventures de sa vie. Mais c’est surtout sa petite mine qui inquiète les internautes. Le regard triste et les yeux mouillés par les larmes, elle semble affaiblie. “Même si on se sent guerrière, la souffrance a ses limites“, écrit-elle alors que le titre Faut pas pleurer comme ça de Daniel Guichard joue en fond. Face à tant de souffrance, Sara peut compter sur le personnel médical à son écoute. “Enfin soulagée après être redescendue au bloc pour poser un cathéter fémoral“, lance-t-elle, visiblement en meilleure forme. Ouf !

Pour rappel, c’est en février 2020, alors qu’elle a posé une prothèse au genou après des soucis de santé, son algodystrophie s’est développée. Une inflammation qui lui a fait avoir des idées noires… “Ça m’a traversé la tête de me demander à quoi ça sert encore de vivre, avait-elle avoué à Public en février 2021. Parce que pour moi, vingt-quatre mois, c’était l’éternité et, me sentant inutile, j’avais peur de devenir un poids pour mes proches, ce que je voulais à tout prix éviter.” Malgré les épreuves, ce moment est loin derrière elle !