Les Panama Papers, qui ont alimenté une cascade de révélations sur l’évasion fiscale, seront en partie accessibles au public à partir de lundi au nom de la «transparence», mais également dans l’espoir de débusquer de nouveaux scandales.
Après 18 h GMT, chaque internaute pourra consulter une base de données fondée sur les millions de documents du cabinet panaméen Mossack Fonseca, où figurent plusieurs noms de leaders et de personnalités publiques.
«C’est un cheminement naturel vers la transparence pour permettre à la société civile d’obtenir les informations de base sur les Panama Papers», explique dans un entretien à l’AFP Gerard Ryle, le directeur du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) qui a fait éclater le scandale.