Home Pure Télé Loft Story, du trucage dans les votes : Benjamin Castaldi balance et choque les ex-Lofteurs

Loft Story, du trucage dans les votes : Benjamin Castaldi balance et choque les ex-Lofteurs

0
Loft Story, du trucage dans les votes : Benjamin Castaldi balance et choque les ex-Lofteurs

Instant nostalgie jeudi soir sur C8. Pour les 20 ans du lancement de Loft Story, Benjamin Castaldi a entrepris de réunir presque tous les anciens candidats de la première saison qui ont bien changés, à savoir Jean-Edouard Lipa, Christophe et Julie, Kenza, Steevy Boulay, Fabrice et Delphine. Seuls Loana, Kimy, Philippe, Aziz et Laure ont manqué à l’appel. Au cours de la soirée, chacun a pu revenir sur son parcours. Mais ce n’est pas tout, Benjamin Castaldi a également profité de ces retrouvailles pour faire des confidences jusque-là inavouables.

L’animateur a révélé que les votes étaient tout bonnement truqués. “Rappelez-vous, au début on appelait les gens à vous éliminer puis le CSA nous a demandé d’appeler les gens à vous sauver. Les votes à l’époque, c’était considérable, c’était 2, 3, 4, 5 millions par semaine. La finale, il y a eu je crois 9 millions de votes. C’était énorme. Mais il y avait un huissier de justice qui contrôlait la validité des votes, et on avait une latitude pour la fermeture des votes, autrement dit, si un candidat était bien placé, on pouvait arrêter les votes un peu avant“, a-t-il déclaré. “Donc c’était truqué“, a alors résumé Kenza Braiga.

Benjamin Castaldi a par la suite nuancé ses propos en assurant que ce principe s’est surtout appliqué lors de la saison 2 de Loft Story. “En saison 2, j’ai vécu un truc de fou, je fais mon appel aux votes, il est 21h15, un copain m’appelle et me dit que les votes sont fermés. En fait, comme on voulait absolument sauver un candidat, on a fermé les votes, la candidate a été sauvée, et c’est passé très bien à l’époque. Ça n’a pas du tout été ébruité“, a-t-il confié.

De quoi choquer les Lofteurs. “Il y a quelque chose de malhonnête, les gens appelaient le standard, ils payaient un appel. Ça c’est attaquable“, a réagit Steevy Boulay. Et pour Benjamin Castaldi de rassurer : “Non, non ce n’est pas attaquable. Les votes étaient finis. Suite à cette aventure, l’huissier contrôlait l’ouverture des votes et la fermeture des votes. Moi, j’avais comme consigne d’influencer le voting“. Et pour lui de réaffirmer : “Dans votre saison, il y avait un tel engouement, que quand bien même on aurait essayé, c’était impossible“.