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Marie s’infiltre écartée de La grande darka après la polémique ? Elle s’explique

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Marie s’infiltre écartée de La grande darka après la polémique ? Elle s’explique

Le 23 novembre 2019, à l’instar de nombreuses personnalités, Marie s’infiltre a souhaité prendre part à la marche contre les violences sexistes et sexuelles, organisée par le collectif #NousToutes, à Paris. Une participation qui a fait polémique car elle est apparue accompagnée de deux hommes tenus en laisse, le corps couvert de marques. Aujourd’hui, c’est pour son poste dans La grande darka (C8) que l’humoriste de 28 ans est sur le devant de la scène.

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Selon les informations de Télé Star, la direction de C8 avait pris la décision de l’évincer après son passage remarqué à la marche contre les violences sexistes et sexuelles. La dernière apparition de Marie s’infiltre dans l’émission animée par Cyril Hanouna datant du 9 novembre dernier, certains ont jugé cette rumeur crédible. Contactée par le Huffington Post, la principale intéressée a tenu à réagir et a fermement démenti cette version : “Je rigole de tout ça… Je suis partie d’un commun accord car l’émission me prenait trop de temps et j’avais beaucoup de projets en cours. Cette décision a été prise il y a déjà un mois, ça n’a aucun rapport avec le 23 novembre, Cyril me soutiendra toujours, je suis toujours en contact avec lui.

Pour rappel, Marie s’infiltre a été vivement critiquée pour sa venue avec en laisse deux hommes torses nus et pour avoir demandé aux passantes de leur fouetter le derrière. Nombreux sont les internautes à lui avoir signifié qu’elle desservait la cause, des commentaires négatifs qui l’ont poussée à se justifier. Voyant la polémique gonfler, Marie Benoliel (de son vrai nom) a souhaité réagir auprès de nos confrères du Parisien : “Non je ne me moque pas des personnes qui vivent des drames, je ne jouis pas de la méchanceté, non je ne caricature pas les femmes qui meurent sous les coups de leur conjoints. Je prends juste un sujet et je le montre différemment, avec un autre ton, un regard différent. Nous sommes dans l’ère de la moralisation extrême, celle prescrite par un magistère moral sur lequel il faut s’aligner : s’émouvoir pour la même chose, se scandaliser pour les mêmes faits, penser pareil partout et tout le temps. C’est mon combat de révéler combien il peut être dangereux d’épouser cette uniformité des comportements. Combien il est important de prendre un sujet dramatique et de le détourner. A ma manière.”