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Mathieu Kassovitz : Sa fille Carmen, 18 ans, star du Festival de Cabourg !

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Mathieu Kassovitz : Sa fille Carmen, 18 ans, star du Festival de Cabourg !

À situation exceptionnelle, solution exceptionnelle ! Le septième art a suffisamment souffert comme ça et, malgré la crise sanitaire qui fracture l’univers, le Festival de Cabourg a bien eu lieu. Tout d’abord, le Grand Jury de l’événement s’est réuni à Paris, du 10 au 12 juin 2020 au Club de l’Étoile, présidé par Benoît Magimel et composé d’Aurélie Dupont, Ahmed Hamidi, Issam Krimi, Isild Le Besco et Doria Tillier. Quant au jury dédié aux courts métrages, il a couvert les festivités par la suite et en deux temps. Dans la capitale, d’abord, puis dans le Calvados pour la soirée de clôture.

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Quelques jours après avoir visionné les courts métrages en compétition, la présidente Noémie Lvovsky, Malcolm Conrath, Carmen Kassovitz, Aloïse Sauvage et Steve Tientcheu se sont retrouvés à Cabourg. Enfin ! Si les choses ne devaient se dérouler qu’en Île-de-France à cause de la pandémie du coronavirus, il a finalement été possible faire le déplacement. Et sur les plages, sur le tapis rouge, chacun a découvert ou redécouvert le visage des membres stars de cette 34e édition… dont la fille de 18 ans d’un célèbre réalisateur.

Comme son nom l’indique, Carmen Kassovitz est la fille de Mathieu Kassovitz. Elle est le fruit des amours du cinéaste avec l’actrice Julie Mauduech. Mais le temps passe et elle travaille dur, depuis des mois, pour se construire sa propre réputation. En 2019, elle a tourné dans L’Été nucléaire de Gaël Lépingle, dans Camera Obscura de Marie-Noëlle Dana et Sonia Sieff et a rejoint le cast de la web-série STALK. Décidément, le cinéma est dans les gènes. Mathieu Kassovitz, lui-même, est le fils de Chantal Rémy, monteuse de films, et du réalisateur Peter Kassovitz…

Festival de Cabourg 2020, le palmarès

Nicolas Bedos pour La Belle Époque

Meilleur film : Gloria Mundi, de Robert Guédiguian

Prix Gonzague Saint Bris, meilleur scénario adapté d’une oeuvre littéraire : Seules les bêtes, écrit par Dominik Moll et Gilles Marchand, d’après l’oeuvre éponyme de Colin Niel

Révélation féminine : Luàna Bajrami dans Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma

Révélation masculine : Benjamin Voisin dans Un vrai bonhomme, de Benjamin Parent

Meilleure actrice : Chiara Mastroianni dans Chambre 212 de Christophe Honoré

Meilleur acteur : Lambert Wilson dans De Gaulle, de Gabriel Le Bomin

Meilleur premier film : Tu mérites un amour, de Hafsia Herzi

Premier rendez-vous pour une actrice : Zahia Dehar dans Une fille facile, de Rebecca Zlotowski

Premier rendez-vous pour un acteur : Alexandre Wetter dans Miss, de Ruben Alves

Grand prix : À l’abordage, de Guillaume Brac

Mention spéciale : Balloon, de Pema Tseden