Home Pure Télé Nabilla admet être millionnaire : “Devenir un guichet, c’est non”, confession cash sur sa fortune

Nabilla admet être millionnaire : “Devenir un guichet, c’est non”, confession cash sur sa fortune

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Nabilla admet être millionnaire : “Devenir un guichet, c’est non”, confession cash sur sa fortune

C’est une success story on ne peut plus originale que celle de mariage de princesse, vie de luxe sous le soleil de Dubaï avec sa petite famille… On est loin des émissions de télé-réalité auxquelles la trentenaire a participé, avant de se frayer un chemin vers la gloire. Suivie par des millions de personnes sur les réseaux sociaux, la maman du petit Milann (2 ans) est la star d’une série-documentaire produite par Amazon Prime Vidéo, Nabilla sans filtre. En pleine promotion pour la sortie de ce long-métrage, la femme d’affaires s’est épanchée sur sa carrière dans les pages du Parisien.

Habitant Dubaï depuis 2 ans, après avoir vécu à Londres, Nabilla n’échappe pas aux questions concernant ce déménagement, que beaucoup mettent en corrélation avec la quasi-absence d’impôts. “On a vécu deux ans à Londres, mais c’était très gris. Donc on a migré vers Dubaï, où on se sent en sécurité. Et il y a des facilités… La fiscalité est un point fort. Même si mes entreprises sont encore au Royaume-Uni, avec des taxations importantes, a répondu la jeune femme, cash.

Fière de sa réussite, Nabilla Benattia raconte qu’elle a été victime de certaines connaissances avares et calculatrices. “Des amis m’ont demandé de l’argent, de la publicité, de payer les vacances… Alors qu’avant ils ne me demandaient rien, vu que je n’avais rien. (Rires) Moi, je suis toujours là pour les gens. J’aide ma famille. Mais de là à devenir un guichet, non.

Entre ses différentes entreprises et les partenariats avec les marques, la trentenaire, qui s’est éloignée du monde de la télé-réalité, s’assure un train de vie plus que confortable et ne cache pas sa fortune, bien que l’argent reste un sujet tabou pour elle. Oui, je suis millionnaire. Avant, nous n’avions rien avec Thomas. Je vois l’argent comme une liberté, pas comme un chiffre. Si je veux partir en Chine, je pars en Chine. Si je veux m’acheter une maison, je m’achète une maison”, a-t-elle confié. Un succès semé d’embûches qu’elle ne doit qu’à elle.