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N’oubliez pas les paroles : Un candidat piégé par la production

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N’oubliez pas les paroles : Un candidat piégé par la production

Confinement ou pas, les people ont entrepris de faire des poissons d’avril ce mercredi 1er avril 2020. Et tous les coups étaient permis, Sylvie Tellier l’a notamment prouvé en tentant de faire croire à sa communauté qu’elle attendait son quatrième enfant. À la télé aussi, les chaînes avaient anticipé cette date. Sur France 2, le maestro de N’oubliez pas les paroles en a d’ailleurs fait les frais. En effet, alors qu’il impressionne ces derniers jours, Arsène est tombé sur une adversaire redoutable répondant au nom de Leslie. La jeune femme a réalisé un sans-faute, de quoi laisser le jeune homme perplexe.

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Mais le pire était à venir, avec l’ultime épreuve, celle où les deux candidats devaient chanter sur le même morceau, en l’occurrence Maldon de Zouk Machine. Au point sur les paroles, Arsène a pourtant été amené à croire qu’il s’était trompé. Quant à Leslie, c’est le contraire. Cette soi-disant rivale a obtenu tous les points en interprétant une version inexacte du tube. Alors, quelle ne fut pas la surprise d’Arsène lorsqu’elle a reçu les compliments de Nagui. Visiblement déçu, le jeune homme accepte toutefois la défaite. “Vous n’avez jamais entendu cette version ?“, lâche même l’animateur qui en rajoute une couche. “Non, jamais !“, a donc répondu Arsène. Mais au moment de rendre son micro, c’est la délivrance pour le maestro : Nagui lui révèle le pot aux roses. “J’ai eu peur”, souffle Arsène, soulagé.

Interrogé par Télé Loisirs sur ce tournage haut en couleur, le candidat a confié s’être douté qu’il y avait un loup avant de se faire avoir. “J‘étais dans la concentration, je n’ai pas trop pris le temps de réfléchir. J’étais partagé. Je me doutais bien qu’il y avait un canular, puisque je n’avais jamais entendu parler de la version française de Maldon. Surtout que ma challenger était très à l’aise, du début à la fin. Mais j’ai eu un peu peur quand même. Je me suis dit que mon parcours allait prendre fin. (…) Mais quand on m’a dit que c’était une blague, je n’étais pas très étonné.”