Home Pure Télé Ophélie Winter forcée au “tapinage artistique” par sa mère à 10 ans : “A l’époque, ça a été une horreur”

Ophélie Winter forcée au “tapinage artistique” par sa mère à 10 ans : “A l’époque, ça a été une horreur”

0
Ophélie Winter forcée au “tapinage artistique” par sa mère à 10 ans : “A l’époque, ça a été une horreur”

Après une longue absence, Ophélie Winter est de retour ce printemps avec une autobiographie intitulée Résilience (éd. Harper Collins). Un ouvrage dans lequel elle revient sur son parcours, son abandon par son père, l’artiste David Alexandre Winter, ou encore sa relation compliquée avec sa mère Catherine Fefeu. De passage dans l’émission Quotidien du 31 mai 2021, la chanteuse de 47 ans a commenté un extrait de son ouvrage faisant état du “tapinage artistique” que sa mère lui a imposé plus jeune.

Poussée par sa mère, Ophélie Winter a commencé sa carrière de chanteuse dès ses 10 ans en interprétant La chanson des klaxons en duo avec Bob, avant de lancer trois ans plus tard le titre Poil de carotte. Lundi soir face à Yann Barthès, l’interprète a confié qu’à l’époque, elle n’avait pas du tout envie de chanter en petite robe avec des couettes : “Moi je voulais être avocate ou vétérinaire, donc rien à voir avec le Schmilblick. A 6 ans, t’as pas envie d’être chanteuse… Enfin je sais pas, peut-être aujourd’hui avec les émission de télé-réalité…“, a d’abord commenté l’ex de Prince. “C’est pas dans notre culture à nous de travailler à 6 ans.”

Face aux images du clip de La chanson des klaxons, Ophélie Winter se souvient que le tournage avait été “un cauchemar“, notamment parce qu’enfant, elle était “un petit garçon manqué” : “Je détestais la manière dont elle m’avait habillée (…). Quand je me vois là, aujourd’hui j’ai presque 50 ans, ça va, j’arrive à déglutir, mais à l’époque ça a été une horreur.” Désormais, l’interprète de Dieu m’a donné la foi n’a plus de relation avec sa mère, notamment parce qu’elle ne l’a jamais crue lorsqu’elle dénonçait, enfant, les attouchements qu’elle subissait de la main de son oncle handicapé. Maintenant qu’elle a couché ses sentiments et blessures par écrit, Ophélie Winter a tourné la page et désigne sa mère comme étant seulement sa “génitrice”.