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Pascal Cardonna, abandonné par Jeremstar, continue à le soutenir

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Pascal Cardonna, abandonné par Jeremstar, continue à le soutenir

Pascal Cardonna alias Babybel a défendu Jeremstar dans un long entretien accordé à Libération malgré les propos tenus par le blogueur.

Deux semaines après les révélations d’Aqababe, Pascal Cardonna alias Babybel brise (enfin) le silence. Dans un long entretien accordé à Libération, l’ami de Jeremstar actuellement dans la tourmente s’est confié pour la première fois sur le scandale dont il fait l’objet, et les accusations contre lui. Il a bien évidemment évoqué le JeremstarGate, et les accusations de viol sur mineur dont il fait l’objet.

De manière très surprenante, Pascal Cardonna continue à défendre Jeremstar même si le blogueur l’a complètement abandonné à la suite des révélations d’Aqababe en confirmant par communiqué de presse qu’il y avait bel et bien un #CardonnaGate. “Aujourd’hui, il s’est désolidarisé de moi, mais c’est tout à fait normal, car nous sommes attaqués de toutes parts. Je ne lui en veux pas”, explique le cadre de France Bleu.

Babybel regrette par ailleurs que sa voie soit “détruite” : “Autant de calomnies, c’est terrifiant. Ça part dans tous les sens, c’est la cour de récré… Ma vie est dans la boue à présent, c’est horrible. Mon numéro de portable a été diffusé sur les réseaux sociaux, j’ai dû rester en mode avion pendant une semaine… Je souffre de trois pathologies graves, j’ai une invalidité de 80 % et je suis en arrêt maladie jusqu’au 28 février. C’est une horreur, ce qu’il m’arrive. (…) Ma vie sociale est détruite, ma vie professionnelle aussi…”, déplore-t-il d’autant plus qu’il nie avoir violé Annoir et Jason, les jeunes hommes qui ont porté plainte : “Il ne s’est rien passé entre Annoir et moi : le jour où il m’accuse de ce viol, j’étais dans un hôtel à Argelès et j’en ai la preuve. Son ami Jason, qui m’accuse lui aussi, m’a également envoyé un mail le 17 janvier, en me disant qu’il n’avait rien à me reprocher ! Ces jeunes veulent faire du buzz pour accroître leur notoriété. C’est toute la perversité des réseaux sociaux, c’est le tribunal 2.0”.