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Régis (Koh-Lanta), ses proches menacés de viol et de mort : sa grande décision

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Régis (Koh-Lanta), ses proches menacés de viol et de mort : sa grande décision

Cette saison de Koh-Lanta 2020 est un véritable phénomène ! L’émission frôle les 7 millions de téléspectateurs, de quoi ravir la production et les candidats. Malgré tout, certains vivent un véritable enfer ces dernières semaines. Les fans du programme n’ont pas digéré les éliminations de Sam et Teheiura et l’ont fait savoir en s’en prenant aux responsables. Ainsi, Inès et Régis ont été violemment attaqués sur les réseaux sociaux. Une situation sur laquelle le directeur de magasin de sport s’est confié, choqué, auprès de Télé Loisirs.

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Régis a expliqué que les internautes étaient d’une “violence inouïe“. Non seulement il reçoit des critiques le concernant, mais il en reçoit aussi qui visent sa famille. “Je tiens juste à préciser que j’ai signé un contrat avec ALP, la société de production du jeu, pour donner mon image donc j’assume totalement les critiques négatives qui sont faites sur mon aventure. On peut me dire que je suis un traître, ça ne me pose aucun problème et cela fait partie du jeu, dans deux semaines les gens seront passés à autre chose. En revanche, je reçois des menaces incitant à égorger et violer mes enfants, des appels à passage à tabac de mon fils de 12 ans en précisant le lieu de son collège, je ne l’accepterai jamais“, a-t-il révélé.

Comme la production de Koh-Lanta l’a fait, Régis a donc pris la décision de saisir la justice : “J’ai aussi porté plainte de mon côté car c’est intolérable. Pour vous donner un exemple, mon nom de famille a été divulgué sur internet donc des internautes ont été insulter mes frères et ma femme. J’ai même vu que mon adresse avait été publiée. On marche sur la tête et je ne vais pas me laisser faire.” Sans surprise, son épouse vit très mal la situation et ne comprend pas pourquoi certaines téléspectateurs sont aussi violents. Afin que ses enfants ne souffrent pas eux aussi, il leur a interdit les réseaux sociaux. Seul son garçon de 12 ans peut aller sur Facebook, mais uniquement pour communiquer avec la famille. “Mais je lui ai demandé de changer de nom de famille. Heureusement que nous vivons une phase de confinement car je ne sais pas comment ça se serait passé au collège. J’espère vraiment qu’à la rentrée de septembre tout cela sera arrangé et que tout le monde sera passé à autre chose“, conclut-il.