Johnny Hallyday, décédé dans la nuit du 5 au 6 décembre dernier, avait pris dans son dernier testament, la décision de déshériter ses deux ainés, David Hallyday et Laura Smet, estimant qu’ils avaient reçu beaucoup par le passé. Sylvie Vartan, ex-femme du rockeur et mère de David Hallyday, est, selon Le Point, en kiosques ce 22 février, dépassée par la décision du Taulier.

Closer dévoilait il y a quelques jours que, de son vivant, Johnny Hallyday avait cédé volontairement 50% de la villa Montmorency située dans le très chic XVIème arrondissement de Paris, à son fils, lors de son divorce avec Sylvie Vartan. Une information qui avait été démentie par la chanteuse qui a affirmé dans un communiqué à l’AFP : “Lors de notre séparation après 18 ans de vie commune, j’ai purement et simplement refusé dans le cadre de notre divorce, de recevoir de Johnny, sous forme de donation, sa part de la maison, préférant que cela revienne directement à notre unique fils.” Dans Le Point, l’un de ses collaborateurs confirme : “Elle est consternée. Après leur séparation, Sylvie, pour des raisons qui lui appartiennent, ne voulait aucun bien de Johnny.” Et pourtant, toujours selon nos informations, David Hallyday a reçu l’usufruit, qui a permis à David Hallyday d’avoir la pleine propriété de devant notaire de 50% de la villa Montmorency, près de 22 ans après ce divorce, en 2002.

“Elle a du mal à reconnaitre l’homme avec qui elle a été pendant douze ans”

Cette donation du rockeur, à son fils, en 2002, est l’une des raisons pour lesquelles David Hallyday a été rayé du testament de son père. Une décision que Sylvie Vartan peine à comprendre, toujours selon son collaborateur, qui explique : “Sylvie est sonnée par tout ce qui arrive, de voir que sa maison se retrouve au cœur de ce débat sordide. Mais elle ne dira pas de mal de Johnny bien qu’elle ait du mal à reconnaître l’homme avec qui elle a été pendant douze ans. Elle ne veut pas avilir la mémoire du père de son enfant.“