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Top Chef : Un ancien candidat au bord du gouffre pose nu sur Instagram

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Top Chef : Un ancien candidat au bord du gouffre pose nu sur Instagram

En proie à d’énormes problèmes financiers depuis la fermeture de son restaurant Aussi(e) imposée par la pandémie de Covid-19, l’ancien candidat de Top Chef Alexis Braconnier a décidé de lancer un appel à l’aide sur Instagram. Au bord du gouffre, le jeune homme avait tout investi dans son établissement et se retrouve désormais sans ressource pour ouvrir son restaurant mais aussi pour vivre. Sur Instagram, il a donc décidé de se mettre à nu (au sens littéral et au figuré) et écrit : “Je suis à poil help !” Sur son profil, Alexandre a également mis en place une cagnotte Leetchi pour l’aider à payer ses factures, ses fournisseurs et ainsi rendre possible la réouverture de son établissement situé dans le 11ème arrondissement de Paris.

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Interviewé par LCI, il a expliqué toute la détresse de sa situation : “À part les 1500 euros qu’on touche pour la société et qui partent en un clin d’oeil pour rembourser un emprunt, je ne touche pas le chômage et je n’ai aucun revenu.(…) J’ai des relances d’EDF, 800 euros, les cavistes que je n’ai pas encore payés. (…) Est-ce que je vais creuser un trou ou est-ce que je peux encore m’en sortir ?” Sans le sou, Alexandre a même dû revendre sa vaisselle et s’est réfugié chez un ami à L’île de Ré. Entendu et soutenu par de nombreux internautes, la cagnotte d’Alexandre atteint actuellement 4730 euros. Une belle somme qui ne résout malheureusement pas encore le problème puisque le restaurateur estime qu’il aurait besoin de 10 000 euros pour remettre ses comptes en ordre et rendre possible la réouverture de son restaurant. Courage Alexis !

Interrogé pendant le confinement, l’ancien juré de Top Chef Philippe Etchebest a déjà alerté à plusieurs reprises sur les conséquences gravissimes qu’aurait cette pandémie si le gouvernement n’aidait pas les restaurateurs français. “On ne demande pas la Lune, on demande juste le minimum vital pour que nos entreprises puissent survivre à cette crise (…) Il faut que ce soit collégial : l’Etat, les banques, les assurances et nous aussi. Je parle au nom de tous les restaurateurs.” Seront-ils entendus ?