Outre les coupes de cheveux étranges de son leader mégalo Kim Jong-Un et ses essais nucléaires, la Corée du Nord essaye d’innover… enfin c’est ce que prétend son journal étatique Pyongyang Times qui affirme l’invention d’un alcool miraculeux. Il s’agit d’une liqueur nord-coréenne permettant d’être ivre sans subir les effets de la gueule de bois le lendemain matin! La boisson serait le fruit de plusieurs mois de recherche qui auraient abouti à cette création dont l’existence ne peut être prouvée pour le moment. Au-delà de cette information qui ne risque certainement pas de changer le monde, ce qui retient notre attention est le fait que les nord-coréens boivent et font la fête! C’est à se demander si ce pauvre peuple séquestré par son leader fou n’a que l’alcool pour déstresser. Cependant, une question demeure posée : Dans ce bled où la parole est scrutée et la liberté d’expression opprimée, comment gère-t-on les « dérapages » humains durant les soirées arrosées ? Vous imaginez un nord-coréen insulter le leader après une bonne cuite ou dire ce qu’il pense réellement? Peut-être un délit spécial style « décapitation des citoyens ivres qui insultent le formidable, sublime et éternel leader ».
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Hong Kong: le cardinal Zen devant le tribunal
Le cardinal catholique de 90 ans Joseph Zen a comparu mardi devant un tribunal de Hong Kong, où il a été inculpé pour ne pas avoir correctement enregistré un fonds d'aide aux manifestants pro-démocratie.
Après sa comparution, le cardinal a célébré, en présence de centaines de fidèles catholiques, une messe dédiée aux églises de Chine continentale.
Mgr Zen, un des plus hauts dignitaires de l'Eglise catholique en Asie, a été arrêté début mai avec quatre autres figures de proue du mouvement pro-démocratie, dont la chanteuse Denise Ho et l'avocate Margaret Ng au nom de la loi sur la sécurité nationale.
Ces personnalités étaient les administrateurs d'un fonds, aujourd'hui dissous, proposant de financer une partie des frais judiciaires et médicaux des personnes arrêtées lors des grandes manifestations pro-démocratie de 2019.
Elles ont été arrêtées pour "conspiration de collusion avec des forces étrangères", un chef d'accusation qui fait encourir la prison à vie selon la loi de sécurité nationale imposée par Pékin en 2020.
Mais le tribunal n'a pour l'heure retenu que l'accusation de défaut d'enregistrement du fonds auprès de la police, qui ne découle pas de la loi sur la sécurité nationale et fait encourir une amende de 10.000 dollars de Hong Kong (1.190 euros) pour une première condamnation.
Tous les accusés ont plaidé non coupables mardi. Le procès s'ouvrira le 19 septembre.
Le parquet a assuré disposer de ...