L’événement s’est produit en pleine soirée électorale australienne et n’a rien à voir avec la politique. Le respecté journaliste Laurie Oakes a, en effet, déclenché un véritable «tie gate» ce samedi, provoquant le déchaînement des réseaux sociaux et de la société de paris. Un vrai coup de génie…
Le site de paris sportifs en ligne Sportsbet a été la victime du génie machiavélique du célèbre journaliste ce samedi. Il a fait les frais de la malice d’un Laurie Oakes qui faisait l’objet d’un pari sur la couleur de sa cravate. Et pour contourner tous les pronostics….il en a changé de cravate à 6 reprises, contrecarrant toute probabilité, rapporte Slate.
The REAL reason why @LaurieOakes kept changing his tie last night! #AusVotes #9Today https://t.co/rRJP0XpsB3
— The Today Show (@TheTodayShow) 2 juillet 2016
Channel 9, grande chaîne d’info télévisée australienne diffusait en direct la soirée des élections législatives anticipées. Laurie Oakes, célèbre journaliste politique, étonne tout le monde en changeant 6 fois de cravates allant du rouge au doré en passant par le noir et le vert.
Ces changements ont provoqué de nombreuses réactions sur Twitter et déclenché l’hystérie du site Sportsbet qui avait lancé un pari sur le fameux accessoire masculin.
A sixth tie for @LaurieOakes…enough!
Stuff this! We’re paying out on all tie colours! @Channel9#ausvotes pic.twitter.com/7w24gqdAPH— Sportsbet.com.au (@sportsbetcomau) 2 juillet 2016
Laurie Oakes, au courant de ce pari, avait décidé de porter toutes les couleurs proposées les unes après les autres et de faire gagner le maximum de personnes. 57 participants vont ainsi se partager un peu plus de 2.000 euros
Yeah yeah, laugh it up @LaurieOakes…you got us mate.
Well played. #ausvotes @Channel9 #auspol pic.twitter.com/1MhZTrnchN— Sportsbet.com.au (@sportsbetcomau) 2 juillet 2016
Ce phénomène baptisé par les internautes «tie gate» est très rapidement devenu une tendance fortement relayée sur Twitter . Le journaliste a expliqué avoir pris la décision le matin de l’élection, se décrivant comme un «défenseur des parieurs».
Un journaliste qui vous veut du bien…