Dans la presse, il y a ceux qui s’insurgent contre cette énième preuve de sexisme et de machisme, et ceux qui temporisent, comme l’éditorialiste du Corriere della Sera, pour qui “si on licenciait tous les journalistes qui ont fait un mauvais titre ou un commentaire inopportun, les rédactions seraient désertes. Et votre serviteur ne serait plus là.” Bref, le débat relatif au traitement médiatique dont pâtissent les athlètes féminines continue durant ces Jeux Olympiques et divise toujours le web.