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Yves Calvi et Jean-Jacques Bourdin racontent leurs pires cauchemars à la radio

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Yves Calvi et Jean-Jacques Bourdin racontent leurs pires cauchemars à la radio

C’est un numéro d’On est en direct qui va beaucoup faire parler. En plus d’un casting cinq étoiles regroupant les plus grands noms de la radio, d’hier à aujourd’hui, les répercussions engendrées par l’émission du samedi 8 mai sont très nombreuses pour les radios nationales. Laurent Ruquier avait invité pour l’occasion des légendes de la radio comme Jacques Vendroux ou Georges Lang ainsi que les animateurs vedettes du moment parmi lesquels Léa Salamé, Julien Courbet, Jean-Jacques Bourdin ou encoreYves Calvi. Au cours de l’émission, les deux derniers ont profité de la discussion pour partager les cauchemars qui anime leurs nuits depuis bien longtemps.

On erre dans les couloirs, on ne trouve pas le studio et on est tout nu !

C’est Yves Calvi, l’animateur de RTL Matin, qui a démarré la discussion en interpellant ses petits camarades. “Est-ce que comme moi, ils font tous le rêve d’arriver en retard au studio, d’errer dans les couloirs ?”, s’est-il interrogé, avant de dévoiler la suite de ce cauchemar récurrent : “Il y a une version un peu plus hard, c’est qu’on erre dans les couloirs, on ne trouve pas le studio et on est tout nu ! (…) Généralement, Radio France, c’est là où je fais mon rêve quand je tourne. Et je demande à chaque fois à un technicien : “Où est la radiale ?””.

Un rêve traumatisant pour le journaliste de 61 ans, qui a vite été rejoint par la confession de Jean-Jacques Bourdin sur le même thème, même si les angoisses diffèrent. “Je présentais le journal de 13h sur RTL à l’époque, et j’ai pas regardé l’heure et je me suis pressé. J’étais en retard, il était 13h01 et j’étais pas à l’antenne ! Donc on comblait, on comblait, et je suis arrivé en courant en studio, et je ne pouvais plus respirer. Ça c’est terrible, c’est un cauchemar !”, avoue le journaliste, qui ne semble pas très fan de sa remplaçante, Apolline de Malherbe, dans la matinale de RMC.

J’avais la respiration courte

Le journaliste de 71 ans explique que ce cauchemar lui a donné des sueurs froides. “J’avais la respiration courte”, se rappelle-t-il. Un souvenir pénible pour Jean-Jacques Bourdin, qui on l’espère, en a fini avec les cauchemars depuis l’arrêt de son émission l’an dernier.