Home Pure Télé Laurence Boccolini : Après Mask Singer, on lui a “proposé une comédie musicale”

Laurence Boccolini : Après Mask Singer, on lui a “proposé une comédie musicale”

0
Laurence Boccolini : Après Mask Singer, on lui a “proposé une comédie musicale”

Laurence Boccolini a tout simplement brillé lors de la première saison de Mask Singer (TF1). Sous le costume de la licorne, la présentatrice avait bluffé tout le monde avec sa si jolie voix, elle qui a même repris du Beyoncé. Depuis sa victoire dans l’émission, la mère de famille de 56 ans a révélé avoir eu quelques propositions. C’est en tous cas ce qu’elle a confié au Parisien, dans l’édition du 10 janvier 2020.

À lire aussi

Mask Singer m’a beaucoup aidée. Cette émission m’a révélé une autre facette de moi et l’envie d’y croire“, explique Laurence Boccolini, avant d’en dire un peu plus sur les coulisses de l’émission. “Dessous, j’étouffais. La première fois que je l’ai porté, j’ai pleuré. On venait m’aérer avec un petit ventilateur. Je ne voyais rien et j’avais peur de tomber en plateau“, confie-t-elle.

Mais ces désagréments ont été effacés avec les doux mots du jury : “J’entendais des encouragements dans leur bouche que j’avais peut-être attendus depuis très longtemps.” Une expérience qui aura redonné à Laurence Boccolini “l’envie de chanter“. “Et ça m’a redonné confiance. On m’a proposé de chanter dans une comédie musicale“, poursuit l’animatrice. Mais elle ne se voit pas tout recommencer à zéro. “Pourquoi pas ! Mais à 56 ans, je ne vais pas démarrer une carrière de chanteuse“, avoue Laurence Boccolini, qui se dit “ouverte à tout“.

Malheureusement, la maman de Willow a souffert d’une image “de personne cassante ou sarcastique, héritée du Maillon faible” : “Ça m’a assigné un rôle à vie. Après, on ne me proposait que des rôles de grosse méchante ! Mais je n’ai aucun regret. C’est le jeu d’une vie.” Aujourd’hui, elle souffre légèrement de son absence à la télévision : “Oui c’est un manque. Mais pas une interrogation douloureuse, sinon il faut arrêter ce métier. C’est dur d’être une femme à la télé… C’est dur d’être une femme tout court.

Retrouvez l’interview de Laurence Boccolini en intégralité dans l’édition du vendredi 10 janvier 2020 du Parisien.