Elles sont belles, décomplexées, parfois déchaînées, voraces, elles traversent les orages, sautent par-dessus les embuches, tombent, se relèvent, survivent, encaissent, rebondissent, espèrent, s’amusent, s’assument, s’épanouissent, explosent.
Des femmes dans tous leurs états, tour à tour fragiles, rebelles et insoumises, offertes aux regards et insensibles aux jugements, s’imposent à travers sept courts et un moyen-métrage à l’image de leurs héroïnes : libres et fantasques.
— “Je suis le sexe faible“ de Benjamin Sachs (2’20)
— “Haramiste“ d’Antoine Desrosières (40′)
— “Je suis toujours belle“ de Nicolas Van Beveren (2’30)
— “The space between us“ de Thibaut Buccellato (3’08)
— “Je suis une petite frappe“ de Fannie Plessis (2’19)
— “Derrière mon nombre“ de Sébastien Bihi (7’04)
— “L’Autre“ de k. Huseyin Ozveren (9’30)
— “Hirondelle“ de Anaïs Girard-Blanc et Jany Kasmi (6’07)
Séance ponctuée de débats avec les équipes des films