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Sondage: Benjamin Griveaux et Anne Hidalgo au coude-à-coude pour la Mairie de Paris

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Sondage: Benjamin Griveaux et Anne Hidalgo au coude-à-coude pour la Mairie de Paris

Benjamin Griveaux et Anne Hidalgo au coude à coude dans la course à la mairie de Paris mais talonnés de près par la droite: c’est la conclusion d’un sondage Ifop publié cette semaine par le Journal du Dimanche

Selon les résultats de cette étude d’opinion, si la liste LaREM était menée par le porte-parole du gouvernement, celle-ci obtiendrait 23% des suffrages au premier tour des municipales, prévues dans 18 mois, à égalité avec l’actuelle maire de Paris.

Juste derrière, la liste des Républicains et de l’UDI conduite par Florence Berthout, la maire du 5e arrondissement, obtient 21% des voix, loin devant Europe-Écologie-les Verts (9%), La France insoumise (7%) et le Rassemblement national (6%). Bon dernier, l’ancien conseiller de François Hollande Gaspard Gantzer ne recueille que 4% des voix. 

Au coude à coude avec Hidalgo, le candidat Griveaux n’en accuse pas moins une très forte baisse si l’on compare ces derniers chiffres au précédent sondage du JDD à ce sujet. En mars, le porte-parole du gouvernement était crédité de 32% des intentions de vote, bien devant l’édile de Paris. Une dégringolade qui peut s’expliquer par la rentrée difficile du couple exécutif, au plus bas dans les sondages. 

Mahjoubi et Renson derrière Hidalgo

Mais l’Ifop teste aussi deux autres hypothèses, correspondant à deux autres candidats potentiels pour le parti majoritaire: Mounir Mahjoubi,  secrétaire d’État au numérique, d’une part, et Hugues Renson, député de la 13e circonscription, de l’autre. S’il incarnait la liste LaREM, Mahjoubi emporterait 20% des suffrages, derrière Hidalgo (24%) et Berthout (23%). Hugues Renson n’obtiendrait lui que 17% des voix, là encore, derrière Hidalgo (25%) et Berthout (22%). 

Benjamin Griveaux a assuré la semaine dernière qu’il annoncerait s’il se présentait au printemps, après avoir “écouté les Parisiens”, excluant au passage l’idée d’une primaire au sein du parti majoritaire, une “machine à diviser” selon lui. 

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