Home Pure Télé “Vous devriez finir en prison” : Christophe Beaugrand dévoile qu’un homme politique s’en est pris à lui

“Vous devriez finir en prison” : Christophe Beaugrand dévoile qu’un homme politique s’en est pris à lui

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“Vous devriez finir en prison” : Christophe Beaugrand dévoile qu’un homme politique s’en est pris à lui

son combat pour devenir père. “Vous êtes mûr, vous êtes populaire, mais il n’empêche que lorsque vous allez sur un plateau télé pour raconter votre histoire, on continue à vous aboyer dessus (…) on vous dit régulièrement ‘va crever, sale pd'”, a interrogé Anne-Elisabeth Lemoine.

“Ca arrive mais les messages que je reçois depuis la sortie de mon livre sont à 98% positifs, mais il y a 2% de messages extrêmement agressifs, a-t-il rétorqué. Avant d’expliquer : “Il ne faut pas se tromper, ce ne sont pas que des sales gosses qui écrivent ces messages ! Il y a des responsables politiques, des responsables d’associations qui lancent des meutes sur les réseaux sociaux. Il m’est arrivé de recevoir des raids numériques dans la foulée, des tweets écrits par La Manif Pour Tous, qui me traitent d’esclavagiste parce que j’ai eu recours à une mère porteuse”, a révélé le mari de Ghislain Gerin.

Un ancien sénateur m’a envoyé un message, il y a deux jours en me disant : ‘Vous devriez finir en prison, vous avez commis des délits’. Je lui ai répondu : ‘Pour un ancien sénateur, vous connaissez très mal le droit car je n’ai commis aucun délit en fondant ma famille !’, s’est insurgé l’animateur de 44 ans. “Il n’y a pas que des ‘racailles’, il y a aussi des harceleurs en costume qui ont le droit de parler à l’Assemblée nationale”, a conclu l’animateur, qui s’est dit très épanoui dans sa vie malgré toute cette violence.

Très impliqué dans la lutte contre la violence et le harcèlement scolaire, Christophe Beaugrand a également révélé qu’il avait été victime de moqueries à l’école. “J’ai été moqué parce j’étais un peu bouboule (…) et très rapidement, j’ai senti cette différence du fait d’être homosexuel étant gamin, les autres l’ont peut-être vu avant moi. J’avais peut-être cette sensibilité, j’étais parfois un peu efféminé, je ne sais pas mais je me faisais traiter de ‘pédé’, de ‘sale gros’… C’est le quotidien de beaucoup de gamins aujourd’hui”, a confié le papa de Valentin (né en novembre 2019 par GPA).